Mamou, 11 Déc (AGP)- Comme prévu par le ministère de l’Enseignement Technique, de la formation professionnelle et de l’emploi, le concours d’entrée dans les écoles de santé a démarré sur toute l’étendue du territoire national, ce mercredi 11 décembre 2024.
Dans la région administrative de Mamou, c’est l’école normale d’instituteurs (ENI) qui sert de cadre à cette évaluation qui se déroule du 11 décembre au 13 décembre 2024.
Au compte de cette première journée, ce sont 11 candidats sur 22 qui étaient attendus pour le BTS (brevet des techniciens supérieurs) qui sont en train d’être évalués en biologie, français et chimie.
La cérémonie de lancement des épreuves a été présidée par le directeur de cabinet du gouvernorat de Mamou, Mamadi Kandia Keïta, entouré de l’inspecteur régional de l’enseignement Technique, de la formation professionnelle et de l’emploi de Mamou, du coordinateur régional des examens, du directeur de l’ENI, des cadres éducatifs, des représentants de l’institut national des statistiques et de la gendarmerie.
L’Inspecteur Régional de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l’Emploi de Mamou, Mamadou Saraf Diallo, a mis cette occasion à profit pour rappeler que le concours d’entrée dans les institutions d’enseignement technique dans le domaine de la santé publique et privée commence dès ce mercredi, 11 décembre, par les candidats en BTS santé qui seront évalués en biologie, français et en chimie. Le 12 décembre 2024, c’est au tour des s agents techniques de santé (ATS) et le vendredi 13 décembre 2024, les candidats en laboratoire.
Il a souligné la nouveauté de cette année marquée par la dynamique avec les technologies de l’information et de la Communication continue car, selon lui, toutes les épreuves sont élaborées et intégrées dans les tablettes sous forme de Questions à Choix Multiples (QCM).
Dans son discours de lancement des épreuves, le directeur de cabinet du gouvernorat de Mamou, Mamadi Kandia Keïta, a demandé aux candidats de faire de leur mieux et surtout d’être sereins pour le bon déroulement des épreuves.
« La Guinée a besoin des cadres intermédiaires. Nous ne pouvons pas tous être des cadres supérieurs. Il n’y aura personne pour travailler pour les autres. Sentez-vous heureux et que le concours n’est pas fait pour vous recaler. Les encadreurs sont là pour vous afin que vous puissiez travailler dans les règles de l’art », mentionne Mamadi Kandia Keïta,
AGP/11/12/024 AOS/CM/AND