Voilà, c’est terminé. La cérémonie de clôture des JO a officiellement marqué la fin des Jeux olympiques de Paris 2024. Revivez les moments clés de cette soirée, avec notamment la passation de Paris à Los Angeles, qui accueillera les Jeux en 2028.
En ouverture de la cérémonie, Zaho de Sagazan reprend « Sous le ciel de Paris » autour du bassin du Jardin des Tuileries. Dans la foulée, Léon Marchand, quadruplé médaillé d’or de ces Jeux, éteint la vasque olympique.
Après une entrée en musique au Stade de France, avec la Marseillaise, interprétée par la Maîtrise de Fontainebleau accompagnée par l’Orchestre Divertimento, les porte-drapeaux paradent nation par nation au milieu du stade. Côté belge, c’est Nafissatou Thiam qui refoule la piste du Stade de France, deux jours après y avoir enlevé la médaille d’or en heptathlon.
Après les porte-drapeaux, le reste des délégations investit le centre du stade. Le tout accompagné de classiques de la musique française. « Que je t’aime » de Johnny Hallyday, « Lettre à France », de Michel Polnareff, « Emmenez-moi », de Charlez Aznavour ou encore « Les Champs-Élysées » de Joe Dassin.
Afin de conclure les premiers Jeux Olympiques paritaires de l’histoire, les marathoniennes sont mises à l’honneur en recevant leurs médailles devant des milliers de spectateurs. Sifan Hassan en or, Tigist Assefa en argent et Hellen Obiri en bronze, prennent un bain de foule au Stade de France.
Dans l’obscurité, le Golden Voyager, interprété par Arthur Cadre, fait son entrée dans le stade. Personnage principal du spectacle, il nous emmène « dans une quête onirique jusqu’aux fondements de l’humanité ». S’ensuit un hommage à la création des Jeux Olympiques de l’ère moderne avec un drapeau et l’hymne grecs.
La quête du Golden Voyager se poursuit par une rencontre, celle de la déesse Niké, déesse de la Victoire associée aux Jeux olympiques antique. Il poursuit ensuite sa découverte des vestiges des Jeux. D’immenses anneaux prennent vie et s’animent dans un ballet chorégraphique avant que l’hymne d’Apollon soit interprété par Alain Roche, assis à un piano suspendu dans les airs à la verticale !
AGP/12/08/024 Source : Actu