Kissidougou, 24 Fév(AGP)- Initiée par la Direction nationale des forêts et de la faune sous l’égide du ministère de l’Environnement et du Développement durable, cette session de formation des formateurs, a regroupé 25 cadres, dans la commune urbaine de Kissidougou.
L’objectif est de renforcer les connaissances de ces acteurs répertoriés dans la base de données de la Direction nationale des forêts et de la faune (DNFF) et leur doter des outils nécessaires pour promouvoir et appliquer les meilleures pratiques en matière de restauration des terres dégradées.
Présent pour le lancement des modules de ladite formation, le coordinateur national du projet, a d’abord remercié les autorités locales pour les dispositions prises en vue de la bonne tenue de la formation.
« C’est avec un immense plaisir et un profond engagement que je prends la parole pour remercier les autorités et les participants ici présents à cette formation des formateurs sur les pratiques et options de restauration des paysages dégradés.
C’est au sujet d’un diagnostic présenté lors de l’élaboration du projet, où il avait été indiqué que plusieurs facteurs rentraient dans le cadre de la dégradation des terres provoquée par les feux de brousse, la coupe abusive de bois et la dégradation due aux changements climatiques », indique Koryo Bernard HABA.
Poursuivant son intervention, il a aussi exprimé sa profonde gratitude à l’ensemble des partenaires techniques et financiers, notamment la FAO et le Fonds pour l’Environnement Mondial (FEM), pour leur engagement constant en faveur de la préservation de l’environnement.
A rappeler que cette formation de 3 jours, se déroule en phase théoriques et pratiques
Les résultats attendus du projet sont entre autres : 30.000 bénéficiaires dont 15.000 femmes, 10.000 hectares restaurés, 15.000 hectares soumis à l’agriculture durable, 150.000 hectares placés sous gestion améliorée, 13 communes touchées pour un total de 6 millions 187 mille 155 tonnes métriques de CO2 réduites.
AGP/24/02/025 MKT/AND