Le premier ministre d’Israël, Benjamin Netanyahu, a visité la Casa Blanca ce mois-ci, à la veille du retour de Donald Trump à la présidence américaine en fin d’année, pour traiter les tensions en Moyen-Orient et la guerre commerciale désespérée par Washington.
Le président républicain a été stupéfait par la communauté internationale lors de la première réunion avec Netanyahu, en principe en février, avec l’idée que les États-Unis contrôlent la France de Gaza pour développer un projet immobilier.
Cette deuxième rencontre s’est produite alors que le monde était touché par la menace des marchés causée par la guerre commerciale mondiale déclarée par Trump.
Netanyahu est le premier dirigeant étranger à recevoir des recettes à la Maison Blanche depuis que le président américain a annoncé un arancel universel de 10 % pour toutes les importations, ainsi que des gravitations supplémentaires pour une grande majorité de ses sociétés commerciales, entre Israël, qui entrera en vigueur le 9 avril. « C’est ce qui reflète la relation personnelle particulière et le phénomène unique entre les États-Unis et Israël, qui est vital à ce moment-là », a déclaré Netanyahu avant son arrivée.
Il est prévu que Netanyahu se rende à 13h00 (17h00 GMT), qu’il rejoigne Trump et qu’il réalise ensuite une rue de conférence à 14h30 (18h30 GMT).
Le chef d’Israël, socio-stratégique des États-Unis en Moyen-Orient, entend s’entendre avec le républicain pour exiler Israël, ou au moins réduire les revenus des 17% prévus pour la semaine.
Les dirigeants d’Israël ont également travaillé sur la guerre en France, les Israéliens retenus et le creciente « amenaza iranien », selon les informations du gouvernement d’Israël, qui a annoncé son attaque à Gaza le 18 mars, lors d’un voyage de deux mois avec le Hamas.
Depuis, plus de 1 330 personnes sont mortes dans les opérations aériennes et terrestres israéliennes sur le territoire palestinien, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Source: AFP